Compte tenu des difficultés, aussi bien structurelles que conjoncturelles, rencontrées par beaucoup d’enseignes de la grande distribution généraliste, la situation actuelle n’incite pas à sortir de sa zone de confort, chacun se crispant frileusement sur ce qu’il pense savoir faire, en priant, tête baissée, pour que ça suffise encore à « faire le job ».
Bon nombre de stars déchues ou disparues clament du fond du compacteur qu’un modèle qui ne se réinvente pas en permanence est appelé à disparaître et que ne pas sortir de sa zone de confort, c’est au mieux l’endormissement rentier, au pire le suicide commercial. Existe-t-il aujourd’hui des pistes à explorer sans pour autant se lâcher des deux mains ? Mon propos n’est pas ici de lister tout ce qu’on pourrait faire mieux – trop facile de flinguer le tire-palettes et il faudrait un numéro spécial – mais plutôt de souligner quelques pistes qui rapprochent facilement des attentes de madame Michu.
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