Regard d’expert GMS : oser le « shop-in-shop »

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L’inclusion de boutiques autonomes ou de rayons sous-traités peut être tentée, quand on recherche un second souffle, dans le but de sauver son chiffre d’affaires. Réfléchissons donc à l’utilisation du shop-in-shop en fruits et légumes.

En cherchant des solutions pour préserver son chiffre d’affaires, un business model peut être tenté, plutôt que de passer complètement la main, ou de confier une liste de points présumés opérationnellement inaccessibles, à un spécialiste extérieur. Je parle ici de l’inclusion de boutiques autonomes ou de rayons sous-traités dans des environnements à la recherche d’un second souffle. C’est, par exemple, la cuisine design et le ménage premium qui s’invitent à la Fnac avec, Dyson-le tout de suite, un questionnement légitime quant à la cohérence de l’ensemble. Ce sont les services à domicile pour la poste, a priori beaucoup plus naturellement en continuité face à la désertification et la déshumanisation de notre société. Et les feuleu dans tout ça ?

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