
On y bourre presque autant de choses inutiles que dans un sac à main mais ici sans aucune élégance…
Vous l’aurez compris, contempler ces troupeaux de scouts refoulés m’agace et, quand j’en vois un courir en agrippant son smartphone et un latte sans sucre (trop ‘has been’ le café noir quoi !), je ne peux m’empêcher d’y penser : si le porteur tombe sur le dos, reste-t-il gisant comme une tortue, incapable de se relever, écrasé par toutes les roulettes des valises des vrais voyageurs qui, pensant aux nombre de sacs a dos qu’ils ont pris dans les lunettes, passent et repassent rageusement dessus ?
Je te dis pas que c’est pas injuste, je te dis que ça soulage !










