C’est curieux cette tendance qu’ont la plupart des intervenants à confondre allègrement client B to B et consommateur B to C. Pourtant, on ne parle vraiment pas de la même chose. D’un côté une personne qui connaît plutôt bien les produits, de l’autre, un innocent aux mains de moins en moins pleines. À droite, celui qui peut payer s’il le veut et faire le choix de la qualité, de l’autre, celui qui, représentant de l’hypocrisie latente de la demande, veut tout mais sans payer, ce qui semble plutôt logique venant de gauche… Il serait à mon avis grand temps pour les fournisseurs, de travailler en profondeur sur la conjonction des attentes très souvent antinomiques des 2 populations car ça n’est qu’en satisfaisant les 2 qu’ils auront une chance de voir leur entreprise survivre.